Sanctum

Le parrainage de James Cameron et son implication dans la production de Sanctum ne doivent surtout pas exciter plus que de raison les fans irréductibles, (...) le relief de Sanctum foudroie dès les premières minutes immergeant le spectateur au point de détourner son attention des enjeux réels du récit. une fois la charge sensorielle consommée, lesdits enjeux montrent hélas leurs limites, le prétendu souci de véracité n'empêchant pas une succession de clichetons et de codes datant des premiers jours du cinéma catastrophe.

Un film catastrophe lambda sauvé par une utilisation impressionnante de la caméra Fusion 3D. Que Hollywood en prenne de la graine, techniquement parlant.

en 3D et produit par James Cameron, voilà une sorte de 10 petits nègres sous la mer. Claustrophobe s'abstenir !

en 3D et produit par James Cameron, voilà une sorte de 10 petits nègres sous la mer. Claustrophobe s'abstenir !

Sponsorisé par James Cameron, qui a prêté son nom et la caméra 3D d'Avatar, Sanctum est un gentil nanar estival égaré en février, qui peine à choisir entre l'attraction Futuroscope et le drame familial en apnée.

Un thriller en apnée qui s'essouffle très rapidement (...) en dépit d'un potentiel photographique qui se détachent sur quelques scènes grandioses, Sanctum reste constamment la tête sous l'eau.

Un thriller en apnée qui s'essouffle très rapidement (...) en dépit d'un potentiel photographique qui se détachent sur quelques scènes grandioses, Sanctum reste constamment la tête sous l'eau.

Dommage que James Cameron soit partiellement responsable de ce forfait, Sanctum n'étant qu'un film catastrophe mâtiné de ce mélo familial à peine digne d'un téléfilm d'une seconde partie de soirée sur TMC.

Dommage que James Cameron soit partiellement responsable de ce forfait, Sanctum 3D n'étant qu'un film catastrophe mâtiné de ce mélo familial à peine digne d'un téléfilm d'une seconde partie de soirée sur TMC.

Un thriller souterrain oppressant, produit par James Cameron, qui reste confiné à la série B malgré toutes ses ambitions de grand spectacle.

Première production de James Cameron post-Avatar, Sanctum noie le 3D numérique dans une grotte sous-marine.

James Cameron semble d’ailleurs moins préoccupé, dans le dossier de presse, à défendre le film en tant que tel que le matériel utilisé pendant le tournage – le Cameron/Pace Fusion 3D Camera System, “la meilleure caméra du monde”, forcément –, comme s’il cherchait avant tout à maintenir sa suprématie technique dans le domaine des nouvelles images. Difficile, dans ces conditions, de s’attacher vraiment à ce triste Sanctum, qui est moins une œuvre cinématographique qu’un titanesque placement de produit.