Toutes les critiques de Bowling

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    des dialogues folkloriques (...), de la psychologie digne de Picsou magazine (...), des ficelles de scénario grosses comme un boeuf... Avec Bowling, histoire de quatre copines qui tentent de sauver une maternité et de remporter un championnat local, on est très loin du strike.

Les critiques de la Presse

  1. Public
    par La rédaction de Public

    Malgré son manichéisme, ce film pas bégueule force la sympathie (...) on passe un bon moment, grâce notamment au duo Catherine Frot / Mathilde Seigner.

  2. StudioCiné Live
    par Sophie Benamon

    De cette réalité économique (la fermeture des services hospitaliers), Marie-Castille Mention-Schaar a tiré une feel-good story à la Full Montyoù le bowling a remplacé le strip-tease. Elle évite aussi les clichés et fait exister ses personnages secondaires. Au premier plan, Mathilde Seigner et Catherine Frot, aux tempéraments si opposés, accordent leurs rythmiques dans un duel Bretonne à poigne contre Parisienne coincée.

  3. Ecran Large
    par Sandy Gillet

    Un bon téléfilm pour du Prime Time sur TF1 ou France 2.

  4. Voici
    par Ariane Valadié

    Bowling, malgré quelques scènes convenues réussit à nous embarquer par la justesse de ses comédiennes et son propos, moins manichéen qu'il n'y paraît (...) Sans être le strike émotionnel attendu.

  5. StudioCiné Live
    par Xavier Leherpeur

    Voici un feel good movie social, breton et féminin, souvent prévisible et souffrant de dialogues passe-partout. Mais il est porté par l’énergie des quatre comédiennes et filmé avec sincérité par la réalisatrice.

  6. Ouest France
    par La rédaction de Ouest France

    Marie-Castille Mention-Schaar aborde la suite de sa carrière avec l'ambition que lui donnent des références de haute tenue. (...) Mais à l'arrivée une mièvrerie sucrée et laborieuse.

  7. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    La mauvaise comédie française qui lorgne du côté du cinéma social britannique ou comment gâcher l’énergie d’un joli casting qui méritait mieux.

  8. Le Parisien
    par Alain Grasset

    Le mélange de la comédie sociale et du sport dans le cas présent se révèle peu convaincant. La faute à de grosses ficelles de scénario, des situations comico-dramatiques maladroites et à une multiplication de clichés sur la Bretagne.