Toutes les critiques de Ninja Turtles

Les critiques de Première

  1. Première
    par Sylvestre Picard

    La journaliste April O’Neil enquête sur le Clan Foot, une mafia qui veut régner sur le monde du crime new-yorkais. À cette occasion, elle découvre que quatre justiciers, des tortues mutantes humanoïdes,
    sont déjà prêts à en découdre avec l’organisation. Des tortues ninja ? Même si vous n’êtes pas un enfant des 80s, le concept est tellement nanar et accrocheur que vous ne pourrez pas éviter d’y emmener votre progéniture. Au risque de froisser la poignée de puristes fans des héros vintage, le film n’est pas mauvais. Jonathan Liebesman est ici à son meilleur niveau, après le terrible "World Invasion – Battle
    Los Angeles" et le déjà plus réussi "La Colère des Titans". Grâce à qui ? Au producteur Michael Bay évidemment. Car sous l'influence du réalisateur de "Transformers", le cinéaste déploie une belle énergie bordélique,
    le tout relevé d’une bonne dose de cynisme. Certains choix sont discutables, comme celui de se concentrer sur l’histoire d’April, mais le fait est qu’il y a du cinéma dans "Ninja Turtles", et du bon. Notamment le temps d’une course-poursuite démente entre des camions le long d’une route enneigée, durant laquelle les notions de temps et d’espace sont soumises aux délires du scénario.

Les critiques de la Presse

  1. Detroit News
    par Adam Graham

    Il y a suffisamment de pouvoir chez les tortues pour conquérir le cœur des enfants et des fans de la première heure.

  2. Télé 7 jours
    par Julien Barcilon

    Free fight à gogo et pizzas, il y a du mega show dans l’air… Cowabunga !

  3. VSD
    par La rédaction de VSD

    Le remake d'un absurde film culte des années quatre-vingt, débile, certes, mais enthousiasmant et plutôt sympathique à l'arrivée.

  4. Newsday
    par Rafer Guzman

    Plus brutal et plus drôle que l’original des années 90 mais toujours aussi inoffensif.

  5. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Bénéficiant d'un beau travail d'animation, d'un bon rythme et d'un certain sens de l'humour, ce énième retour sur les écrans des plus célèbres reptiles de la bande dessinée est plutôt une bonne surprise.

  6. StudioCiné Live
    par Clément Sautet

    Produit par Michael Bay, dont la finesse est proche de zéro, ce "Ninja Turtles" planque un vide scénaristique derrière sa carapace brillante de produit sans âme. On regrettera le choix de Megan Fox en April O'Neil, qui finit d'achever nos souvenirs d'enfance.

  7. Télérama
    par Frédéric Strauss

    Vaguement portées disparues, les fameuses tortues ninja reviennent sous la direction de Jonathan Liebesman, un spécialiste du cinéma d'action balourd. Avec lui, les toujours plaisants Michelangelo, Donatello, Leonardo et Raphael semblent très vite ne faire que de la figuration dans des cascades interchangeables, interminables...

  8. Boston Globe
    par Tom Russo

    La répartie est faible, comme toujours. Même avec certains détails qui ont été peaufinés, ces 4 tortues ne sont pas crédibles.

  9. New York Times
    par Nicolas Rapold

    Comparé au film, le titre ne semble même plus ridicule, on devient habitué aux mots clefs.

  10. Toronto Star
    par Peter Howell

    Aucun effort n’est fourni pour différencier la personnalité des tortues, elles semblent aussi grotesques qu’un dessin animé de Terry Gilliam.

  11. Arizona Republic
    par Bill Goodykoontz

    Un bazar incroyable, immature et flou, tout comme ces 4 tortues. Des trucs se passent, des trucs explosent, difficile de croire que c’est une production de Michael Bay.

  12. Chicago Reader
    par Drew Hunt

    Le ton léger et humoristique est revu à la baisse à cause de références pop-culture peu créatives et stupides.

  13. Vulture
    par Ebiri Bilge

    Plus insistant que drôle mais les enfants ne s’en apercevront sûrement pas.

  14. New York Times
    par Nicolas Rapold

    Comparé au film, le titre ne semble même plus ridicule, on devient habitué aux mots clefs.

  15. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    Produit par Michael Bay, ce divertissement sert surtout de prétexte à mettre en valeur la plastique avantageuse de Megan Fox, en décalage permanent.