Toutes les critiques de La fille du puisatier

Les critiques de la Presse

  1. Paris Match
    par Alain Spira

    Imprégné par l’univers de Pagnol, Daniel Auteil, se montre digne du grand Marcel et de Claude Berri. Son film magnifique d’humanité, lui permet d’accéder à l’un de ses plus beaux rôles.

  2. Télé 7 jours
    par Julien Barcilon

    L'émotion et la sincérité du film, porté par le verbe de l'écrivain, compensent les quelques maladresses.

  3. Brazil
    par Johan Girard

    Si la toile de fond est dramatique, La fille du puisatier déborde d’humour. Souvent caustique. Derrière une apparente douceur se cachent ainsi des textes féroces. (…) Sa mise en scène, discrète, s’efface subtilement pour céder la place à des dialogues poétiques mais mordants. Une belle réussite.

  4. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Il (Daniel Auteuil) a mis l’accent sur le destin des personnages, leur fragilité, leur magnétisme, redécouvert l’innocence en la charmante personne d’Astrid Bergès-Frisbey.

  5. Les Inrocks
    par J.B. Morain

    Une bonne surprise. (…) l’acteur-cinéaste tire le film insensiblement, avec son inventivité, vers autre chose de moins manichéen (…) Un bon film, plein d’idées de cinéma, servi par des comédiens (presque) tous excellents, dirigés avec soin par un débutant rigoureux.

  6. Nouvel Obs
    par Marie-Elisabeth Rouchy

    Pour son premier long-métrage à la réalisation, Daniel Auteuil s’attaque avec bonheur au remake de l’œuvre de Pagnol.

  7. par Philippe Jambet

Les dialogues et la structure du film original de Pagnol sont respectés quasiment à la lettre. La reconstitution est minutieuse, pas une seule olive ne manque à la daube provençale... Et c'est bien là le problème. En 1940, Pagnol ancrait son film ans une réalité sociale contemporaine. Soixante-dix ans plus tard, c'est Disneyland-en-Provence, animé par des comédiens désincarnés. Si Auteuil, impeccable de dignité, a l'intelligence de ne pas singer Raimu, Kad Merad et son sourire figé font regretter Fernandel, Darroussin cherche son accent quand Astrid Bergès-Frisbey, elle, ne trouve jamais son jeu.

  • Télérama
    par Cécile Mury

    Daniel Auteuil force son accent, surjoue le patriarche pauvre mais fier.

  • A voir à lire
    par Camille Lugan

    Cure de cigales et d’accent provençal pour Daniel Auteuil, qui se lance dans le remake du film culte de Marcel Pagnol. Une production ensoleillée et bon enfant, mais qui aurait mérité un peu plus de réflexion...