Toutes les critiques de Au Nom de ma Fille

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    C’est l’histoire vraie d’une terrible saga judiciaire. En 1982, à la mort de sa fille de 14 ans, Kalinka, André Bamberski découvre des incohé- rences dans le rapport d’autopsie. Son enquête le mène au beau-père de Kalinka, cardiologue renommé et mis hors de cause ; il lui faudra des années pour obtenir le jugement puis la condamnation effective du meurtrier. Vincent Garenq (Présumé coupable,L’Enquête) poursuit sa mise en images des rouages de la justice et de ce qui les grippe. Il suit en détail le combat de ce père pour la vérité, dans la lignée édifiante d’une fiction documentée à la Cayatte. Le film bénéficie de l’interprétation puissante de Daniel Auteuil, entre douleur et obsession, folie et obstination. 

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    (...) Garenq ne décrit pas uniquement un combat pour la justice. Il met aussi en scène une obsession et ses ravages. Et il le fait de façon intelligente (...)

  2. Le Parisien
    par Alain Grasset

    Si Au nom de ma fille est un thriller qui ne vous laissera pas insensible, on peut quand même regretter qu'il ne s'attarde pas assez sur la psychologie d'un personnage aussi ambigu que Dieter Krombach.

  3. Le JDD
    par Danielle Attali

    (...) la réalisation tendue, entre passé et présent, a su trancher pour ne s’intéresser qu’à l’essentiel sans vider le film de sa substance émotionnelle.

  4. 20 Minutes
    par Caroline Vié

     De la compassion, le public n’en manque pas pour ce héros qui va faire de sa vengeance le but de sa vie.

  5. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    Sans artifice, le film gagne en puissance grâce à sa pudeur et à mesure les faits parlent d'eux-mêmes.

  6. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    Sans artifice, le film gagne en puissance grâce à sa pudeur et à mesure les faits parlent d'eux-mêmes.

  7. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Toujours rigoureux dans son écriture et sa mise en scène, le cinéaste a pourtant du mal, en dépit de la performance solide d’Auteuil, à faire évoluer son personnage, à mettre en évidence les ravages de trente ans de quête de justice sur le cœur d’un homme.
     

  8. Télérama
    par Frédéric Strauss

    La dimension humaine de l'affaire aurait gagné à être creusée : le scénario reste scolairement rivé à la chronologie du dossier...

  9. StudioCiné Live
    par Thomas Baurez

    C'est parfois louable à défaut d'être très intéressant. Là, c'est gênant...

  10. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

    Sa composition (Daniel Auteuil ndlr) exprime la dimension délirante de cette histoire, dimension que le film peine à traduire par ailleurs