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Selon Puremédias, Brigitte Bardot aurait adressé une lettre à France Télévisions pour ce plaindre de la diffusion de scène de maltraitance animale dans l'émission 5 Touristes, émission diffusée chaque soir à 18h sur France 2.

Selon Puremédias, Brigitte Bardot aurait adressé une lettre à France Télévisions pour se plaindre de la diffusion de scène de maltraitance animale dans l'émission 5 Touristes, émission diffusée chaque soir à 18h sur France 2.L'émission 5 Touristes de France 2 est loin d'être un succès. Avec moins de 400 000 téléspectateurs chaque soir à 18h, l'émission est pourtant regardée par Brigitte Bardot. Cette dernière aurait d'ailleurs été choquée par des scènes qui selon elle, relèvent de la maltraitance animale.Puremédias explique que Brigitte Bardot, à la tête d'une fondation pour la protection des animaux, a même envoyé une lettre à Rémy Pflimlin, président de France Télévisions, pour se plaindre.A propos d'un extrait dans lequel on voyait une corrida, Brigitte Bardot écrit : "dans votre programme, il s'agit d'un entrainement, le taureau blessé est remplacé par une vachette, les commentaires des touristes et de la voix off sont à la fois bêtifiants et mensongers. On peut entendre notamment : 'la bête se retrouve en vacances après, elle est libre' ou encore 'au Portugal il n'y a pas de mise à mort, c'est interdit' … sans préciser toutefois que la mise à mort se fait après le spectacle en dehors du regard des spectateurs !"Ensuite, à propos d'un combat de coqs à Saint-Martin : les animaux sont victimes "de barbarie […] punis de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende (en France, ndlr). Monsieur le Président, il y a une limite à ne pas dépasser, prendre les téléspectateurs pour des imbéciles est une chose et ce n'est pas glorieux, mais vouloir faire passer ces actes de cruauté pour d'innocents divertissements n'est pas acceptable" conclut Brigitte Bardot, visiblement très remontée.C'est d'ailleurs devenu une habitude pour l'ex-actrice de monter au créneau pour défendre la cause animale.